1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
1 lité extérieure à une fatalité interne, librement assumée par les amants. C’est le rachat de leur destin qu’ils accomplissent e
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
2 s libre. Il est déterminé par le démon. Mais s’il assume son destin de malheur jusqu’à la mort, qui le libère du corps, il peu
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
3 s, et l’on ne voit pas à qui s’adresse la passion assumée par la Nation… Nous savons toutefois que la passion d’amour, par exem
4 arti) qui a des passions. C’est elle (ou lui) qui assume désormais la dialectique de l’obstacle exaltant, de l’ascèse et de la
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
5 oderne que l’idée d’une limitation volontairement assumée  ; et rien ne le flatte davantage que le mirage d’infini dépassement e
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
6 assions viendra de l’État, ce Sauveur anonyme qui assumera le poids de toutes nos fautes, et de la faute initiale de vivre, pour
7 s d’une sorte d’arbitraire, dont ils s’engagent à assumer les suites, heureuses ou non. Ce n’est pas là un éloge du « coup de t
8 ne obsession que l’on subit et un destin que l’on assume  ? Il faut donc la marquer par un exemple simple. Être amoureux n’est
9 it impliquer l’avenir d’actes conscients que l’on assume  : aimer, rester fidèle, éduquer ses enfants. On voit ici combien sont
6 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
10 e des effets du philtre, tout en regrettant que j’ assume sans trop de honte l’essence de ma culture occidentale. Les mal marié
11 es antinomies valables, inévitables et qu’il faut assumer  : mouvement-sécurité, extases-durée, passion-mariage, rêver l’Éros et
12 mieux définir les termes. Il s’agit maintenant d’ assumer leurs tensions et de les équilibrer en création, loin de vouloir foll