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sités » que l’homme invente quand il ne veut plus
assumer
sa liberté. Si nous ne choisissons pas librement notre avenir, il n’y
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— labourée, fécondée, cultivée — l’initiative fut
assumée
au nom de l’espèce par quelques héros légendaires, dont l’archétype e
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méthée Le mythe de Prométhée domine l’aventure
assumée
par notre culture occidentale. J’y trouve la clé de l’anxiété qui sou
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à exercer une souveraineté dont ils n’ont cure d’
assumer
les charges, les États-nations ne pensent qu’à étendre encore leurs «
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ction, c’est (le chef du gouvernement) qui doit l’
assumer
… Habituons-nous à voir en lui ce qu’il est ou ce qu’il devrait être :
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de nous. C’est notre affaire. Formuler, décider,
assumer
une politique de civilisation, serait la seule réponse adéquate à la
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te, de l’urbaniste, du médecin, ou du citoyen qui
assume
son rôle dans la cité, les « impératifs du développement », les « néc
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en. Notre affaire, c’est notre désir quand nous l’
assumons
sans réserve. L’avenir est notre affaire, puisque dans toute la mesur
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ntre soi et le monde, un déséquilibre orienté, ou
assumé
. Une manière de regarder ou d’être fasciné. Un rythme, un effort acha
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squ’à la signification de la solitude érémitique,
assumée
désormais en commun, et c’est le paradoxe génial du monastère. Les co
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té de conduite, imposée à l’individu avant d’être
assumée
par ses vœux ; le principe d’exclusion définissante ou de sélection p
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e dessinent sur la Terre des fonctions et besoins
assumés
tels qu’ils sont, ici et maintenant, tandis que l’Utopie est fuite de
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’on voit paraître la nécessité d’un organisme qui
assumerait
au plan continental la concertation politique, l’arbitrage entre les
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uement des communes de base en lesquelles l’homme
assume
sa vocation, j’entends : devient lui-même avec les autres. Que la Sui