1 ons de notre culture et de notre vie, sachant les assumer sans jamais les détruire. On connaît Denis de Rougemont en tant que p

2 de clarté, recèle une part d’arbitraire que nous assumons , dans la mesure où la pensée de Denis de Rougemont forme un tout. Aus

3 ngage écrit du langage parlé. C’est pourquoi nous assumons toute la responsabilité d’une transcription que Denis de Rougemont eû

4 nous, c’est-à-dire que c’est à tous et à chacun d’ assumer notre rôle libre et responsable et de choisir concrètement entre les

5 tre en accord avec des buts clairement définis et assumés . L’avenir est désormais “notre affaire”. Voulons-nous la puissance (c

6 oblige à se poser, devant le choix des finalités assumées . 5 novembre 1971 La formule de toute hypocrisie sociale, c’est la nég

7 altante pour l’ingénieur ? Une nouvelle manière d’ assumer ses droits et ses devoirs civiques et culturels, et de passer du rôle

8 st niée ensuite par l’antithèse, et les deux sont assumées par la synthèse. Dans la synthèse, ni la thèse, ni l’antithèse n’exis

9 ionnalisation ; il s’agit au contraire que chacun assume ses responsabilités, ses risques, et tâche de les faire valoir, sans

10 otal (on fuit devant sa vocation, on ne veut plus assumer les risques de sa liberté). Ceci correspond exactement au double dang

11 la déviation vers l’unitarisme : on ne veut plus assumer les risques et les charges de son autonomie locale, et on s’en remet

12 finalités déclarées, dont il s’agit maintenant d’ assumer les moyens. 21 janvier 1966 Les deux termes, « politique » et « civiq

13 la nature, mais nous sommes condamnés désormais à assumer , en toute conscience, nos responsabilités. 11 novembre 1966 Si on app

14 ans la cité en fonction de finalités déclarées et assumées . Plutôt qu’“art de gouverner”, la politique est l’affaire de tous. En