1 is aussi les problèmes sociaux. Nous traversons l’ Atlantique en huit heures, mais ainsi font les bombardiers géants. Etc. Qui peut

2 e que si la masse des USA déséquilibre l’Alliance atlantique , la masse de l’URSS ne manquerait pas d’équilibrer une bonne alliance

3 ment périr par asphyxie. Marchés perdus, alliance atlantique perdue, prestige perdu ; par suite, dynamisme créateur déprimé, repli

4 européenne, en effet, déséquilibre le groupement atlantique et menace de livrer la moitié du monde à l’hégémonie des États-Unis.

5 que (octobre 1955)s La première traversée de l’ Atlantique par Lindbergh avait exalté l’Occident. Elle nous apportait un héros,

6 ante : d’où la gloire. La première traversée de l’ Atlantique par un bombardier sans pilote, réussie vingt-cinq ans plus tard, appo

7 forces encore hésitantes, l’abandon de l’alliance atlantique … Tels sont, sans doute, les faits récents, et les réactions à ces fai

8 tait découpée en zone « désengagée » et en zone «  atlantique  ». Sans l’Allemagne, les Six ne sont rien ; sans les Six, l’union ne

9 otre intégrité garantie par les USA. La coalition atlantique se reforme automatiquement. Elle englobe alors toute l’Europe, dont l

10 uvre sur une union économique étendue à l’échelle atlantique . La première indiquait le transfert de certains droits de souverainet