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iale de ce qui fut un secret religieux… Il faut s’
attaquer
à tout cela, fût-ce même pour sauver le mythe des abus de son extrême
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antipodes du Dante, mais aussi des rhéteurs qu’il
attaquait
. Le « secret » dont je parlais plus haut s’est volatilisé : il ne jou
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forme sacrée. C’est à ces vestiges de rites que s’
attaqua
le romantisme. D’où la violente exaltation dès la fin du xviiie sièc
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ne exigence d’amour actif. ⁂ Je n’entends pas ici
attaquer
la passion : je me borne à la décrire et à la « réciter » comme dit M
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des raisons trop faciles à concevoir, on craint d’
attaquer
le lecteur dans ses croyances les plus intimes et les plus solidement
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Et comment échapper au démon que l’on fixe ? Pour
attaquer
la passion dans l’amour, il faudrait développer une violence spiritue