1 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
1 spectateurs étendus en pyjamas sur des paillasses attendraient en vain le lever d’un rideau sur une pièce inexistante. Enfin le dern
2 annoncer qu’on était libre — comme si on l’avait attendu pour le manifester ! — et qu’il suffisait de souscrire à la brochure
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
3 t encore une question… Je crois qu’il ne faut pas attendre immobile dans sa prière, qu’une révélation vienne chercher l’âme qui
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
4 une faite, tout le monde s’accorde à dire qu’on n’ attendait pas moins du fils d’un tel père. « Voilà le train du monde… » Je ne p
5 un peu bizarre qu’il glisse si souvent là où on l’ attend le moins. Conrad Meili apporte chez nous une inspiration neuve, d’ori
6 ût au milieu d’harmonies funèbres, comme un qui n’ attendrait pas que l’enterrement s’éloigne pour entonner une chanson à boire. Et
7 s sûrement ordonnée. Je crois qu’on doit beaucoup attendre de ce tempérament qui fait jaillir en lui sans cesse des possibilités
4 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
8 yme bien plus propice au rêve que ma chambre où m’ attendent tous les soirs quand je rentre du bureau, les gages insupportablement
5 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
9 er à côté d’une place vide : la jolie femme qu’on attend dans ces circonstances, une fois de plus manquait le rendez-vous que
10 — et ce fut bien dans cette anecdote dont Gérard attendait évidemment quelque chose d’imprévu, la seule chose contraire à la cou
11 îmes un palais aux fenêtres illuminées. Des autos attendaient devant le porche grand ouvert. Les chauffeurs faisaient les cent pas
6 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
12 , n’est-ce pas ? Il en tombe d’accord ; accepte d’ attendre comme un enfant sage que le monde lui donne, en son temps, sa petite
7 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
13 ant de voix l’appellent, combien sont dignes de s’ attendre au don du langage sacré ? Cette langue de feu qui s’est posée sur Höl
8 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
14 erche d’un corps faible. Je ne sais pas où tu m’ attends mais je sais comment tu pleurais. Au carrefour des cris perdus j’écou
15 ousent entre eux pendant que tes yeux s’ouvrent n’ attends rien d’autre qu’un désert qu’un sol dur aux genoux tends les mains
9 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
16 pas selon les sautes brusques de son tempérament. Attendons encore un peu avec ceux-là… Enfin, l’ultime raison de ne pas désespér