1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 ain ; et c’est très beau, Aragon, de ne plus rien attendre du monde, mais on voudrait que de moins de gloriole s’accompagnât vot
2 la perte d’une foi. Il a besoin de Dieu, mais il attend en vain sa Révélation : « C’est peut-être que je suis médiocre entre
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
3 ient possibles. C’est d’Armande surtout qu’on les attendrait , plus franche d’allure. On ne sait ce qui la retient : son amour ? so
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
4 mme qui incarne aussitôt à ses yeux tout ce qu’il attend de l’amour. Une confidence, un baiser, et il ne la reverra jamais. Il
4 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Saisir (juin 1929)
5 e l’esprit ou des sens. « Reste immobile et sache attendre que ton cœur se détache de toi comme une lourde pierre. » Le corps, q
5 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
6 affirmations sont exactement celles qu’il fallait attendre de ces auteurs. Ce qu’on ne viendra pas disputer à M. Benda, c’est so
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
7 ’après-guerre et des parents. Encore un sujet qui attend son maître. bf. « A. Jullien du Breuil : Kate, roman (Kra, Paris) »
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
8 l’objet inconnu Personne n’a mon adresse, je n’ attends rien d’ailleurs ; tout à ma chance hongroise en ce premier réveil — d
9 moi je suis la proie de l’angoisse du courrier. J’ attends la lettre, j’attends je ne sais quoi de très important… Trois décepti
10 de l’angoisse du courrier. J’attends la lettre, j’ attends je ne sais quoi de très important… Trois déceptions par jour ne peuve
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
11 rer de la voir, apparaît la « Loge » invisible. J’ attends , j’appelle quelqu’un qui vienne me prendre par la main. Ainsi je quit
12 jamais la vérité sur aucun être ? Et s’il fallait attendre pour aimer !… Je me souviens de ces terrains de sable noir, piqués de
13 et sur la terre plus secret que dans ton pays. Tu attendais une révélation, non point de cet endroit, ni même par lui, — mais à c