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tu veux la justice, ne te mêle plus de la guerre.
Attends
la saison des moissons ! 1er officier. — Pour cette fois, nous ét
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ère Claus. L’ombre. — À la bonne heure ! On n’
attendait
plus que vous ! Le village est plein comme une arche. Nos beaux seign
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t un signe que les temps sont troublés. Plus d’un
attend
conseil du frère Claus. Écoutez bien : plus d’un voudrait l’avoir de
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faim ! Nicolas. — Étrangers et Confédérés, qu’
attendez
-vous d’un plus pauvre que vous ? Le pèlerin. — On dit au loin que
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s et à perpétuité. Nicolas. — L’archiduc ! Qu’
attend
-il en échange ? Hornek. — Il n’attend rien que votre paix ! Ni
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uc ! Qu’attend-il en échange ? Hornek. — Il n’
attend
rien que votre paix ! Nicolas. — Ce langage est nouveau de sa par
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là, la Diète va s’ouvrir, il est trop tard ! On n’
attend
plus que les ambassadeurs de l’étranger pour inaugurer les débats. Éc
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de retour pour l’ouverture de la Diète. Il faut s’
attendre
à des bagarres. L’ambassadeur de France. — Eh bien ! voilà du bon
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Nicolas. — La paix soit avec toi, Haimo. Je t’
attendais
. Haimo. — Tu sais tout ? Nicolas. — La guerre civile ! Hai