1 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
1 sortit de table. C’était au club. Tandis que nous attendions l’ascenseur, je dis au Philosophe : — Fort bien, mais si je parlais d
2 sujet de ce petit ouvrage. Toutefois, qu’on ne s’ attende pas à un portrait du diable : il faut tenir tous ses portraits pour a
2 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
3 ais où vous croyez le prendre, où les sanctions l’ attendent , où le mal se confesse. Eh bien, ce sera vite fait, nous connaissons
3 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
4 meure à l’arrière-plan lointain, l’autre, voilée, attend à l’horizon de tout amour digne du nom de passion. C’est pourquoi la
5 s un coin de la cellule. Il ne fait rien, il vous attend . Il connaît la logique de la passion. Il attend votre pire souffrance
6 s attend. Il connaît la logique de la passion. Il attend votre pire souffrance, son seul baume. Il a cessé de sourire, il est
4 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
7 sur le visage torturé du siècle, que nous devons attendre un vrai réveil des hommes… Mais cette attente encore, qu’elle ne soit
8 a joie, ni la grandeur et ni l’amour ne cessent d’ attendre , intacts et souverains, notre désir. Il nous suffit de retrouver le c
9 usculaires et larvaires où le Prince des ténèbres attend notre fatigue ; qu’elles fassent s’évanouir les profondeurs trompeuse