1 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
1 démissionner (la scène se passe en 1935) et il s’ attend à être abattu par ses anciens amis. Dans le refuge précaire d’un Chri
2 el M. qui m’accompagne à la maison, en voiture. J’ attends deux heures. Breakfast. Une auto militaire vient me prendre. Comparut
2 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
3 écisément celui dont ils ont le moins de raison d’ attendre quelque bienveillance… Un jeune soldat famélique et débraillé rôdait
4 certains des passagers gardent encore l’air de s’ attendre au pire, tandis qu’ils font leur premier tour de pont. Ils se rappell
5 ède sa place, et je l’entends dire à sa femme qui attendait un peu en arrière : « Rien de nouveau, c’est toujours les mêmes petit
6 me de chaleur tropicale bleuit les rives. Je ne m’ attendais pas à la nature américaine, à la voir la première et de si près, avan
7 yeux sont fixés sur cette table où nos passeports attendent , près des tampons sacrés. C’est bien le mien qu’il tâte et saisit sur
3 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
8 onent à votre hôtesse pour vérifier que vous êtes attendu . Retenu cette phrase déclamée par une milliardaire au dessert : « Si
9 croyances du monde. C’est bien la ville où l’on s’ attend à découvrir cet autel au dieu inconnu dont saint Paul s’étonnait deva
10 de grands fauteuils et de tables tubulaires. Vous attendez . Une secrétaire aussi belle qu’à l’écran prend votre nom et s’en va d
11 J’imagine bien ! Mais le public est simpliste, il attend des jugements entiers. — Quitte à ne pas savoir ce qu’il juge, ni pou
12 humeur et peu d’espoir de s’en aller. Beaucoup n’ attendent plus rien, ayant recommencé de vivre ailleurs, dans un pays où person
13 e vivre ailleurs, dans un pays où personne ne les attendait , eux, leurs enfants, leur pauvreté, leurs paquets mal ficelés dans la
14 e un grand jeune homme assis sur l’escalier. Il m’ attendait . Il m’entraîne au café. Il avait des questions à me poser au sujet d’
4 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
15 regard ! Dur est ce continent, et la vie qui m’y attend — je l’ai connue tout juste assez pour le savoir. Maintenant j’y entr
5 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
16 temps. C’étaient ceux qu’on voyait, parce qu’on s’ attend à les voir en pareille occasion. Mais il y en avait beaucoup d’autres
17 e tirer d’un privilège unique les créations qu’on attend d’elle dans tous les ordres, que se passera-t-il ? On verra le reste
6 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
18 sur l’absurde, car une obscure sagesse en lui s’y attendait  : elle le tenait prêt à subir en souplesse les mécomptes, à vrai dire
19 se refuse à définir la juste paix que les peuples attendent . Il recule devant l’arme capitale… Pas un seul appel officiel14 n’a f
7 1946, Journal des deux mondes. Virginie
20 cation. Nous aurons peu senti, peu réfléchi. Nous attendions , dans la rumeur des commentaires et des regrets, et des vieilles polé
8 1946, Journal des deux mondes. Intermède. Mémoire de l’Europe
21 ut dit. L’Europe était patrie d’amour. Le silence attendait , l’absence était profonde, et chaque être présent questionnait, répon
9 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
22 avec un p, vous fait dire qu’elle pardonne tout… attendez … oui, elle vous pardonne tout, et vous recevrez la clé d’Helen, et el
23 ut, et vous recevrez la clé d’Helen, et elle vous attend tous au 125 East 51 à minuit, avec des drinks. — Quoi ? — Oh pardon 
10 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
24 un voyage aérien. Car voyager, aujourd’hui, c’est attendre . Non seulement attendre son tour dans la queue devant des guichets, m
25 yager, aujourd’hui, c’est attendre. Non seulement attendre son tour dans la queue devant des guichets, mais encore, une fois ins
26 ois installé dans le fauteuil profond de l’avion, attendre que la boule au-dessous de nous ait tourné jusqu’au point désiré, pou