1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 n neuf, du moins différent de ce que mes réflexes attendaient . Des amis débarquant de France me disent : « Alors, qu’en pensez-vous
2 lement épatant, mais c’est Joe que j’aimais, je l’ attends , je vais me séparer de Jim, et, je suis sûre qu’il comprendra très bi
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
3 fin que chacun devienne plus digne de ce que tous attendent de ce pays, plus digne du mythe, du rêve américain. Voici donc un nat
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
4 es. Celle des sports, contrairement à ce que l’on attendrait , ne tient pas plus de place que dans la presse française. Par contre,
5 enos Aires que j’ai rencontré Walt Disney. Nous l’ attendions à déjeuner chez Victoria Ocampo, plutôt déprimés par la représentatio
6 ction ou des marques de ferveur théâtrale qu’il s’ attendait à retrouver dans un tel lieu… Religion et vie publique J’ai fai
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
7 a femme se virilise à la mesure de ce que l’homme attend d’elle. Frustrée sans le savoir dans sa féminité, elle se révolte con
8 lle, à l’héritage, on s’accommode de la faute, on attend la fin de la crise, on espère recoller tant bien que mal le ménage, a
5 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 réfléchir. L’homme du peuple travaille sans hâte, attend sans nervosité dans la file son tour d’entrer au cinéma, son tour de
10 e sur des dents éclatantes, et comme s’il n’avait attendu que votre arrivée, justement, pour donner enfin libre cours à ses pui
11 vous savez faire et combien vous demandez. Sachez attendre longtemps la réponse, non sans chercher ailleurs tout ce qui peut se