1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 ui donnent le moins possible (les impôts) mais en attendent toutes sortes d’avantages qu’ils appellent droits et, par suite, reve
2 n dire. C’est d’une « meilleure » technique qu’on attend le salut. Mais par quoi mesurer ce mieux ? Par le rendement accru ? L
3 ar la seule crainte des risques qu’il fomente. Il attend que des catastrophes arrêtent ici ou là sa course folle, montrant aux
4 n sûr !) où était la saine limite outrepassée. Il attend aussi que les pouvoirs imposent des bornes à l’expansion des Autres e
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
5 ium et du plutonium des déchets ? Pourquoi ne pas attendre que l’étude ait abouti, avant de faire proliférer ces éléments ? — Sa
6 mplement pas le choix et que nous ne pouvons plus attendre . La demande d’électricité double tous les sept ans, c’est un fait éta
7 ue sans broncher par toute la presse occidentale, attendons -nous à retrouver, en arrière-plan et couvrant tout, l’idée de croissa
8 logique interne de la mégamachine étatique, vous attendez de plus en plus de l’État, et vous trouvez enfin normal que ce soit l
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
9 dont ils traitent, ne joue pas le rôle qu’ils en attendaient  : tantôt il s’oppose aux solutions préconisées, et tantôt il protège
10 sormais, sera vu par le peuple comme son chef. On attend de lui qu’il soit « fort », mais aussi qu’il soit « juste » : ces qua
11 ommunautaires. Initier, inventer sans délai, sans attendre les échéances que les États et leurs experts tentent désespérément de
12 que les émirs, en le privant de pétrole sans plus attendre la pénurie finale, le rendent inoffensif dans les années qui viennent
4 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
13  : « Seul un prophète peut lui répondre. » Nous l’ attendons encore. Saurons-nous le reconnaître ? La personne imprévisible : e
14 nu leur propre style et savent trop bien à quoi s’ attendre . J’ai toujours su que ce type de développement résulterait nécessaire
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Devenir soi-même
15 efuse, qu’il parvient aussi à comprendre ce qu’il attend de lui-même et voudrait devenir. Certes, il s’éprouve menacé de toute
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
16 h 10. les 35 000 places assises sont occupées. J’ attends debout, écrasé dans la foule, durant quatre heures. Je suis venu av
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
17 nent de la sorte le cœur et l’âme d’un peuple qui attend leur conseil134. Toutes leurs communautés sont communistes. Presque t
18 vraiment communes et partagées. Car ce qu’il faut attendre d’une communauté, particulière ou générale, n’est rien de plus — mais
19 ratiquement dans la mesure exacte où les communes attendent davantage de l’État. Si bien que l’on peut écrire en France, pays-tém
20 autaire. Elle se sera produite, comme on devait l’ attendre , là où des hommes et des femmes ont pris conscience qu’ils en étaient
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
21 me pose pour s’assurer qu’il m’a compris.   — Qu’ attendez -vous de l’avenir européen ? — Cela se résume en trois vœux : des régi
22 t Saint-Just, au cœur de la Révolution : Il faut attendre un mal général assez grand pour que l’opinion générale éprouve le bes
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Conclusion. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? »
23 et d’y trouver plus de saveur et plus de sens. Qu’ attendre aujourd’hui de l’avenir, sinon d’abord qu’il dure, et cela dépend de