1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
1 e ces hauts rideaux dorés, pour écouter Mozart et attendre , qui sait ? — qu’une femme s’appuie… Il faudrait aller au bar install
2 Adélaïde en soie d’aurore, voici l’heure que nous attendions . Les escaliers s’abaissent dans le silence nouveau, nous entendons no
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
3 l’Objet inconnu Personne n’a mon adresse, je n’ attends rien d’ailleurs ; tout à ma chance hongroise en ce premier réveil — d
4 moi je suis la proie de l’angoisse du courrier. J’ attends la lettre, j’attends je ne sais quoi de très important… Trois décepti
5 de l’angoisse du courrier. J’attends la lettre, j’ attends je ne sais quoi de très important… Trois déceptions par jour ne peuve
6 rer de la voir, apparaît la « Loge invisible ». J’ attends quelqu’un qui vienne me prendre par la main. Ainsi je quitte la Hongr
7 jamais la vérité sur aucun être ? Et s’il fallait attendre pour aimer ! Je me souviens de ces terrains de sable noir, piqués de
8 et sur la terre plus secret que dans ton pays. Tu attendais une révélation, non point de cet endroit, ni même par lui, — mais à c
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Le balcon sur l’eau
9 s ton envie de fermer les yeux contre une épaule, attends encore un peu plus fort, écoute encore plus purement… Solennité autou
10 ouvre la bouche pour dire quelque chose, écoute, attends … Peut-être que déjà la parole fut dite et reçue quelque part en nous-
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
11 nt déjà des pachas, et l’Occident ne peut rien en attendre , qu’un corps de janissaires tout au plus. Mais ces hommes durs, silen
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
12 ant de voix l’appellent, combien sont dignes de s’ attendre au don du langage sacré ? Cette langue de feu qui s’est posée sur Höl
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
13 s rues sont vides jusqu’au cœur de la ville, où l’ attend une ample demeure. Et maintenant le chien s’est tu ; des pas s’éloign
14 peur… Mais c’est l’aînée que je préfère, et qui m’ attend peut-être, derrière ses volets mal clos… 20 juin 1929 Hier, au
15 venais de raconter comment parfois j’ai su qui m’ attendait à la lisière de cette forêt tel soir d’été, quel sujet d’examen venai
16 i dit : « Voilà que ça me prend, tout justement ! Attendez que je vous dise… Sur mon assiette de petit déjeuner, demain matin, i
17 isible s’il en fut, et je n’avais aucune raison d’ attendre qu’il m’écrive. Quant à l’enveloppe jaune, elle contenait un article
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
18 ut dit. L’Europe était patrie d’amour. Le silence attendait , l’absence était profonde, et chaque être présent questionnait, répon
19 un voyage aérien. Car voyager, aujourd’hui, c’est attendre . Non seulement attendre son tour dans la queue devant des guichets, m
20 yager, aujourd’hui, c’est attendre. Non seulement attendre son tour dans la queue devant des guichets, mais encore, une fois ins
21 ois installé dans le fauteuil profond de l’avion, attendre que la boule au-dessous de nous ait tourné jusqu’au point désiré, pou
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
22 on pays. Il songe : c’est là-bas que le mystère m’ attend , et que ne vais-je pas y découvrir, à mon retour, que jamais je n’ai
23 le région de la Suisse êtes-vous ? De Neuchâtel ? Attendez , Neuchâtel, rappelez-moi… Ainsi je me demandais parfois ce qu’on sai
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
24 ar celles de notre inestimable constitution. » Qu’ attendre de plus d’un Anglais ? N’oublions pas que les Trois États, le Conseil
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
25 oir une femme venait à moi comme le miracle que j’ attends , je lui dirais : c’est un malentendu. Je suis dépareillé, passons, pa
26 endez-vous ? Cette envie de crier : « J’accours ! Attends  !… » Ah ! mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? se dit-il. Il faut en avoir