1
donné les pénates paternels, sans pudeur, je fais
attendre
Orcus. Ô Dieu (si quelqu’un des dieux entend mes paroles) fais que j’
2
emble davantage à celle d’un printemps continuel,
attendu
que les saisons n’y éprouvent point de variations fortes et inopinées
3
devienne acceptable pour les apologètes. Il faut
attendre
le début du ve siècle de notre ère pour voir reparaître — et c’est l