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tte dès le seuil du conte dans l’état passionné d’
attente
où naît l’illusion romanesque. D’où vient ce charme ? Et quelles comp
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effets avec ceux de l’exigence romanesque et de l’
attente
du lecteur) — cet obstacle n’est-il qu’un prétexte, nécessaire au pro
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re. Le bonheur des amants ne nous émeut que par l’
attente
du malheur qui le guette. Il y faut cette menace de la vie et des hos