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espire, ô vents, je vous le donne en récompense !
Attirés
par la mort loin de la vie qui les pousse, proies voluptueuses de for
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orts. Ce héros, Bran, Cuchulainn, ou Oisin, « est
attiré
par une mystérieuse beauté : il s’embarque sur une barque magique » e
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ise, rien ne le pousse vers le haut, et rien ne l’
attire
vers le bas… » (Maximes.) Le troubadour Arnaut Daniel parlait aussi d
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n. « Rien ne le pousse vers le haut, et rien ne l’
attire
vers le bas », disait saint Jean de la Croix, et cela « parce qu’il s
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étration psychologique les mouvements de la chair
attirée
par l’élan mystique en ses débuts (Nuit obscure, I, v. 3) ne s’exagèr
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ons ici la tirade : les premiers vers suffisent à
attirer
notre méfiance. Quoi, c’est le bonheur qui serait fatal au repos de c
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ions de la vie : la conception pieuse, ascétique,
attire
à elle tous les sentiments moraux ; la sensualité, abandonnée au diab