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ns campagnards contre les villes, et finalement l’
attitude
généreuse des vainqueurs du Sonderbund, illustrent ce principe fondam
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pour celui d’une idéologie. On pourrait définir l’
attitude
fédéraliste comme un refus constant et instinctif de recourir aux sol
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. Nous sommes tentés de justifier en leur nom des
attitudes
qu’en d’autres temps l’on eût appelées faiblesse de caractère, défait
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positions de combat que nous assigne une pareille
attitude
. Certes, nous voulons faire l’Europe avec tout le monde, c’est-à-dire
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elle ne traduit dans ses grandes lignes certaines
attitudes
humaines ou décisions fondamentales. Déterminante en bien des cas, el
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uer, s’il aboutit, le point de renversement d’une
attitude
contraire au génie de l’Europe. En second lieu, je note qu’au cours d
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condition. Nous avons d’autres noms pour ces deux
attitudes
. M. Philip a des pages excellentes sur le « compromis » nécessaire, d
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n finir, je vous envoie ma petite brochure sur L’
Attitude
fédéraliste . Vous y trouverez beaucoup d’attaques contre le national