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notre idéologie, toutes nos révoltes, toute notre
attitude
pratique s’expliquent d’une manière suffisante par notre appartenance
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llectifs n’expriment rien de plus qu’une certaine
attitude
, l’attitude démissionnaire de l’homme en fuite devant sa vocation. L
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xpriment rien de plus qu’une certaine attitude, l’
attitude
démissionnaire de l’homme en fuite devant sa vocation. Les fantômes
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t leur pouvoir. Mais si ces mythes représentent l’
attitude
démissionnaire de l’homme, la somme de toutes les démissions particul
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lières, — la personne, au contraire, représente l’
attitude
créatrice, la vocation de l’homme. Tout, en définitive, se joue dan
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inée personnelle. À l’origine de tout, il y a une
attitude
de l’homme. J’ai essayé de vous montrer l’attitude de celui qui se ré
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ttitude de l’homme. J’ai essayé de vous montrer l’
attitude
de celui qui se réfugie dans l’Histoire10, qui pense par périodes séc
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uelles conséquences politiques commande une telle
attitude
et quelles révolutions, enfin réelles, elle prépare. Mais ce serait l
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sonne ? Est-ce une vue philosophique ? Est-ce une
attitude
nietzschéenne ? Est-ce un choix subjectif ? Vous préférez l’homme cré
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un service nécessaire — voilà peut-être définie l’
attitude
chrétienne en politique : une révolution sans illusions. 18. Répons
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nquête de la Revue du christianisme social, sur l’
attitude
des jeunes protestants devant les problèmes sociaux et culturels du t
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écessaire. Telle est, dans son principe, la seule
attitude
politique que puisse adopter le chrétien : la politique du pessimisme
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optimi pessima. ⁂ Mais il existe des êtres que l’
attitude
du pessimisme actif condamne sans discussion et sans appel. Et c’est
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urquoi en face des idoles, il n’y a plus que deux
attitudes
: les adorer ou les fracasser. Tout chrétien est iconoclaste. C’est l
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t trop de compromis pour être compatible avec une
attitude
chrétienne. À l’origine permanente de toute action vraiment évangéliq
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e perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux
attitudes
prend une forme encore plus précise, il devient l’antagonisme de deux
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e au mépris de sa vie : tel est le fondement de l’
attitude
de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, doit faire de
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être une simple conception philosophique, est une
attitude
devant la « vie pratique » — comme on dit, mais y en a-t-il une autre
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comme on dit, mais y en a-t-il une autre ? —, une
attitude
qui se mêle constamment à l’existence des chrétiens eux-mêmes. Ce n’e
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nc son temps à essayer une confrontation des deux
attitudes
sur le plan humain. Bien plus : on ne rend pas justice aux desseins q
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utilisée par les antifascistes va leur dicter une
attitude
politique, et leur carence doctrinale les empêchera de remarquer que
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e doctrinale les empêchera de remarquer que cette
attitude
politique est précisément le fascisme. Je simplifie à l’excès ? Mais
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ommune de la jeunesse française, une communauté d’
attitude
essentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une u
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ins objectifs sont communs… Déjà s’affirme dans l’
attitude
de tous ces groupes un acte de présence à la misère du siècle, assez
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utre.) Je ne puis m’attacher ici qu’à définir une
attitude
spirituelle. Les principes qui seront à la base de l’économie et de
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lles. Ces refus et ces affirmations définissent l’
attitude
spirituelle des jeunes groupes. Ils indiquent assez la nouveauté de l
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n régime est toujours étroitement dépendante de l’
attitude
qu’il prend vis-à-vis de l’Église et du fait religieux en général. Un