1 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
1 large mesure aussi, l’avenir du monde dépend de l’ attitude de l’Europe, et de son pouvoir d’invention. Ici, point de malentendu 
2 rier de la souveraineté absolue, créant ainsi une attitude nouvelle, une confiance — ouvrant l’Europe au monde, du même coup. Ce
3 r, mais qui formule non sans bonheur, je crois, l’ attitude d’engagement et de solidarité qui doit ici nous inspirer, je dirai, s
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4 du scepticisme ou des routines politiciennes. L’ attitude fédéraliste Les organisateurs de ce congrès ont voulu qu’il s’ouvr
5 r maintenant à une description plus concrète de l’ attitude et des méthodes fédéralistes. ⁂ L’an dernier, aux Rencontres internat
6 périalisme d’une idéologie. On pourrait définir l’ attitude fédéraliste comme un refus constant et instinctif de recourir aux sol
7 xe siècle, que deux camps, deux politiques, deux attitudes humaines possibles. Ce ne sont pas la gauche et la droite, devenues p
8 et dans les camps. Vis-à-vis de l’Amérique, notre attitude doit être, évidemment, bien différente. Nous avons besoin d’elle maté
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9 ndamentale, vous allez le voir, correspond à deux attitudes entre lesquelles nous aurons à choisir dans un délai que la situation
10 unité culturelle ou, pour mieux dire, son unité d’ attitude vis-à-vis de la culture, se nourrisse de diversités. En effet, élargi
11 mais nous n’avons pas fait notre fédération. Même attitude lorsqu’il s’agit du plan Marshall, ou de quelque congrès d’intellectu