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ère de la Confédération »39, et plus encore : une
attitude
morale, toujours plus caractéristique de la nouvelle Suisse fédérale.
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au fédéralisme en tant que doctrine politique et
attitude
philosophique. Des historiens comme Karl Meyer, Gagliardi ou Hans Nab
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es réponses des sept parlementaires reflétèrent l’
attitude
prise par leur fraction [nom donné aux groupes politiques] à l’Assemb
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onstantes naturelles de la Suisse, puis certaines
attitudes
psychologiques qu’elles ont déterminées au cours des siècles et leur
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u’à nos jours, et la mentalité des Suisses, leurs
attitudes
devant la vie. Nous avons vu comment un bon sens souvent un peu étroi
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nt, qui ne le suit guère. Un jour, exaspéré par l’
attitude
de ses collègues, il prend un pavé et le jette dans une fenêtre du Pa
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régime économique actuel reflète fidèlement cette
attitude
à peu près unanime. Mélange de capitalisme libéral, de socialisme com
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distribuée sur tout le territoire, et d’une même
attitude
d’intime approbation à l’égard d’un régime qui permet à chacun de res
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xtes ne réussissent jamais”. Elle voyait dans son
attitude
un exemple miraculeux de sacrifice personnel et une manifestation pre
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é décelés par quelque sondage d’opinion sur les «
attitudes
culturelles » de l’Autrichien, du Français ou de l’Anglais, et ce son
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udois. Il traduit surtout à mon sens une certaine
attitude
morale qui préfère la conduite « correcte » à la spontanéité, qui sub
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u contraire une volonté de dénuement. Et de cette
attitude
(non exempte d’une espèce de masochisme) il va tirer toute une morale
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s, sinon d’une « culture suisse », du moins d’une
attitude
d’esprit qui fut longtemps commune aux créateurs issus de nos divers
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chologiques, innées ou acquises, ont produit deux
attitudes
humaines assez différentes dans le domaine de l’éducation et de la pé
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l met en cause l’Occident tout entier119. L’autre
attitude
ou tradition pédagogique, qui se développe parallèlement à la premièr
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en 1848 par la majorité protestante. Toutefois, l’
attitude
des théoriciens du parti catholique n’est pas seulement inspirée par
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Barth interrogé par des étudiants hongrois sur l’
attitude
du croyant dans la vie politique, a cette réponse courageuse mais en
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le « se réserver », à Berne. Il se peut que cette
attitude
soit la seule qui convienne à un petit pays, pluraliste, et neutre au