1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Un pays traditionnellement neutre »
1 ère de la Confédération »39, et plus encore : une attitude morale, toujours plus caractéristique de la nouvelle Suisse fédérale.
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
2 au fédéralisme en tant que doctrine politique et attitude philosophique. Des historiens comme Karl Meyer, Gagliardi ou Hans Nab
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
3 es réponses des sept parlementaires reflétèrent l’ attitude prise par leur fraction [nom donné aux groupes politiques] à l’Assemb
4 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
4 onstantes naturelles de la Suisse, puis certaines attitudes psychologiques qu’elles ont déterminées au cours des siècles et leur
5 u’à nos jours, et la mentalité des Suisses, leurs attitudes devant la vie. Nous avons vu comment un bon sens souvent un peu étroi
6 nt, qui ne le suit guère. Un jour, exaspéré par l’ attitude de ses collègues, il prend un pavé et le jette dans une fenêtre du Pa
7 régime économique actuel reflète fidèlement cette attitude à peu près unanime. Mélange de capitalisme libéral, de socialisme com
5 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
8 distribuée sur tout le territoire, et d’une même attitude d’intime approbation à l’égard d’un régime qui permet à chacun de res
9 xtes ne réussissent jamais”. Elle voyait dans son attitude un exemple miraculeux de sacrifice personnel et une manifestation pre
10 é décelés par quelque sondage d’opinion sur les «  attitudes culturelles » de l’Autrichien, du Français ou de l’Anglais, et ce son
11 udois. Il traduit surtout à mon sens une certaine attitude morale qui préfère la conduite « correcte » à la spontanéité, qui sub
12 u contraire une volonté de dénuement. Et de cette attitude (non exempte d’une espèce de masochisme) il va tirer toute une morale
13 s, sinon d’une « culture suisse », du moins d’une attitude d’esprit qui fut longtemps commune aux créateurs issus de nos divers
14 chologiques, innées ou acquises, ont produit deux attitudes humaines assez différentes dans le domaine de l’éducation et de la pé
15 l met en cause l’Occident tout entier119. L’autre attitude ou tradition pédagogique, qui se développe parallèlement à la premièr
16 en 1848 par la majorité protestante. Toutefois, l’ attitude des théoriciens du parti catholique n’est pas seulement inspirée par
17 Barth interrogé par des étudiants hongrois sur l’ attitude du croyant dans la vie politique, a cette réponse courageuse mais en
6 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
18 le « se réserver », à Berne. Il se peut que cette attitude soit la seule qui convienne à un petit pays, pluraliste, et neutre au