1
ssifs de la passion. Le dernier livre indique une
attitude
humaine diamétralement opposée, et par là il achève la description de
2
texte à faire rebondir le roman. Tout autre est l’
attitude
du chevalier lorsque rien d’extérieur à eux-mêmes ne sépare plus les
3
permanente et toujours tragiquement actuelle de l’
attitude
cathare, ou d’une manière plus générale du dualisme, dans les religio
4
une théorie de la libido ; et qu’il ait pris une
attitude
déterministe : or le surréalisme fut une école littéraire avant tout
5
réfigurées, quoique infléchies ou inverties par l’
attitude
dualiste et même gnostique93 de Gottfried. c) Le mariage « consommé
6
révélation dernière, dans la mort. Ainsi de leur
attitude
envers les créatures : ils ne les retrouvent pas au-delà de leur pass
7
u mariage dans nos mœurs, le second décrivant une
attitude
que je donne bien moins pour la réponse décisive, que pour mon choix
8
ver ou rejeter la passion. Combien serait vaine l’
attitude
intellectuelle qui se définirait elle-même comme une condamnation de
9
rise de parti, au sens actif de l’expression, une
attitude
fondamentale de créateur. Ainsi, dans la plus humble vie, la promesse
10
a fidélité dans le mariage ne peut pas être cette
attitude
négative qu’on imagine habituellement ; elle ne peut être qu’une acti
11
urait être un seul instant ramené à la passion. L’
attitude
humaine qu’il révèle est l’antithèse exacte de la passion : c’est une
12
change de signe. ⁂ C’est en fin de compte dans l’
attitude
religieuse des Occidentaux, et dans l’institution la plus typique de
13
plus nous connaissons Dieu », dit Spinoza. Cette
attitude
, qui définit mon Occident, définit en même temps les conditions profo
14
st bien entendu que j’appelle Orient une certaine
attitude
totale de l’homme qui s’est manifestée principalement chez les peuple
15
ous les autres, et dont nous voulons être sûrs. L’
attitude
de l’Européen qui se demande toute sa vie : « Est-ce de l’amour ou no
16
e femme ; il a seulement envie de l’aimer — cette
attitude
pourrait être considérée par un psychiatre chinois comme un symptôme
17
opinion assez répandue prête aux troubadours une
attitude
idéaliste du même genre que celle de saint Bernard. Pour dissiper cet
18
thare… Mais le poète y assimile si curieusement l’
attitude
de Guillem à celle d’un « patarin » qu’on est bien obligé de reconnaî