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t un fait que le ton des sermons, le maintien des
auditeurs
et l’atmosphère en général y sont bien plus bourgeois que populaires.
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appelle le ton de la chaire et qui produit sur l’
auditeur
occasionnel de nos sermons une impression fâcheuse de démodé, d’inact
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ter, à prévenir des objections que la plupart des
auditeurs
n’auraient pas eu l’idée de faire. Comme laïque, je ne demande pas qu
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variable ; de plus, elle doit être prévue par les
auditeurs
, et pleinement significative en chacune de ses parties. Elle doit for