1 une part, nous faisions découvrir, en France, des auteurs complètement nouveaux à l’époque, tels Kierkegaard, Karl Barth ou Ber

2 ssantes aux organisateurs. Une trentaine de leurs auteurs ont prouvé leur intérêt en envoyant des textes : ce sont ceux que nou

3 dit-il, à approfondir et clarifier la pensée de l’ auteur sur quelques points. Je dirai pour simplifier que son papier est un e

4 as question une seconde que je me dérobe, étant l’ auteur du concept d’engagement de l’écrivain et de la définition de l’homme

5 ongrès pour la liberté de la culture (1952-1966). Auteur de 34 volumes, parmi lesquels Penser avec les mains (1936), L’Amou

6 otale du monde de demain. Je vais choisir un seul auteur comme étant le plus lyrique de tous sur l’avenir des ordinateurs : il

7 e réservai introduction et conclusions. Les douze auteurs sollicités acceptèrent aussitôt. Un seul, Paul Nizan, invité en tant

8 d et, sitôt entré, me demanda la liste exacte des auteurs sollicités. Il sortit son agenda et j’allais lui donner les noms quan

9 suite, il apparaît que l’approche théologique des auteurs dont je parle est trop engagée — et peut-être engageante dans le cas

10 nce peut-être le mouvement de l’œuvre même de son auteur , nous invite à l’anticiper… Ce thème central, comme il l’indique lui-

11 substance des Essais et la formule de vie de leur auteur . Dans le premier temps, Montaigne se prend pour sujet : « Je me suis

12 es de Montaigne, et ressemble de plus en plus à l’ auteur même de ces analyses. Chacun sait que les portraits peints par Rembra

13 ailleurs un important post-scriptum dans lequel l’ auteur réfute les critiques portées contre la première édition. L’ouvrage, t

14 tion Idées), ainsi que les nombreux articles de l’ auteur parus dans les deux revues personnalistes de l’époque, Esprit et L

15 ma vingt-quatrième année, j’avais découvert deux auteurs qui furent décisifs pour ma vie : Kierkegaard et Karl Barth. À traver