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Qu’est-ce que l’antieuropéanisme ? » se demande l’
auteur
, lorsqu’il tente à la fin de son essai d’en récapituler les données.
2
r la surprise de citations souvent stupéfiantes d’
auteurs
qu’on croyait bien connaître ou d’inconnus profonds et pittoresques ;
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rogrammatiques, et pour tout dire d’un mot dont l’
auteur
se méfie : plus « engagées ». Là-dessus, je me propose de revenir. Ma
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s’exclame J. Burckhardt au moment même — relève l’
auteur
— « où Verlaine et les poètes du mouvement décadent transforment l’in
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e d’utopie, non sans hargne, correspond — comme l’
auteur
le démontre par des textes frappants — à une Europe rêvée, « décentra
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gérer qu’il y aurait lieu de l’instruire contre l’
auteur
. « Je ne me fais pas ici le défenseur des politiques de conquête du p
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le processus d’unification du monde. » Sur quoi l’
auteur
conclut dans un large finale : « Si l’Europe doit survivre en tant qu
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urs — sur l’évolution remarquable qui a conduit l’
auteur
de cette phrase excessive : « Quittons maintenant notre province, je
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e de la Réunion !) Et il ajoute : « Un des grands
auteurs
supranationaux est Denis de Rougemont. Il est Suisse, donc Européen à
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ré tout autre chose que l’intention d’insulter un
auteur
mal pensant : c’est un blasphémateur qu’il dénonçait, et il s’y voyai
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dans un volume intitulé Demain la paix 27 par un
auteur
qui signait Bruère : La souveraineté nationale, assurait-il, est « un
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qu’il s’agit désormais de le transformer ? Marx,
auteur
de cette thèse, n’a transformé le monde qu’à la mesure de ses moyens
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: cela se passe entre Leibniz et Kant — Leibniz,
auteur
d’un projet d’Académie européenne ou fédération de savants constitués
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et enfin de divers projets œcuméniques. Et Kant,
auteur
du Projet de paix perpétuelle (1795), texte fédéraliste s’il en fut,
15
ien de Croce ; autrichien de Hofmannstahl… — tous
auteurs
d’essais majestueux sur l’Europe, son génie spécifique et ses névrose
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chose, vers une chose plus haute. » 34. Pour les
auteurs
de thèses — elles se multiplient sur cette période — indiquons les nu
17
orer, récupérer, embrigader en la personne de ses
auteurs
toute espèce de recherche authentique, possiblement critique ou négat
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en 1966, consacrait au deuxième centenaire de son
auteur
. « L’esprit européen », ce fut le titre des premières Rencontres inte
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actica Magna, écrite en tchèque et traduite par l’
auteur
en latin, a été traduite depuis un siècle en français, en anglais, en
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octrine ni d’action. Il s’agit uniquement, pour l’
auteur
, de dénoncer comme fascistes et nazis bien moins ceux qui s’avouèrent
21
falsification systématique des textes cités par l’
auteur
. Faute de temps, je m’en tiendrai à ceux que je connais le mieux, qui
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les textes (les mots qui me sont attribués par l’
auteur
sont en italiques). Citations I et II Pour illustrer ce qu’il a
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i de très près, car il exemplifie la méthode de l’
auteur
. Les mots parfaitement incroyables selon lesquels la critique de la
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me » ne figurant pas dans ce numéro d’ Esprit , l’
auteur
éprouve le besoin d’étayer son invention, d’où le renvoi à la note 7,
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là qui est plus grave encore et révèle chez notre
auteur
une incapacité fondamentale à comprendre le sens des trop rares ouvra
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totalitaires prétendent justifier ces crimes. Un
auteur
qui se révèle incapable de saisir la distinction entre la sommation (
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quées, et pour achever de décrire la méthode de l’
auteur
, il est intéressant de relever non seulement ses citations fausses, m
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des Pays-Bas occupés. « Nul besoin de présenter l’
auteur
dans ce pays, la RAF s’en est chargée pendant la guerre », disait le
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ences à Leyden en 1948. Je suis bien sûr qu’aucun
auteur
de langue française n’a publié autant de pages sur et contre Hitler.
30
t durs du Collège de sociologie. Que disaient ces
auteurs
qui les eût distingués, voire opposés radicalement à nos critiques de
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Mounier et que « son succès ne survécut pas à son
auteur
». L’Express, 13 février 1981. 62. Cf mon essai « Les jacobins en ch
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entre guerre et nation se retrouve même chez les
auteurs
les plus modérés de l’époque : « Une nation de soldats va combattre c
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ne méridionale et le Nord du Dauphiné. (Note de l’
auteur
.) 69. Histoire générale de l’Europe, dirigée par G. Olivier et R. M
34
entatives de littérature purement objective, où l’
auteur
ne jouerait plus aucun rôle, ne défendrait aucun point de vue, la lit
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ulignant dans son introduction au numéro ce que l’
auteur
n’avait pas hésité à qualifier de « cafouillage politique sans précéd
36
lle quinze ans avant M. Sartre. On découvrait les
auteurs
allemands. J’ai découvert Kierkegaard, devenu un de mes grands maître
37
n livre qui s’appelle La France et son armée. » L’
auteur
s’appelait le colonel de Gaulle. Alors j’ai répondu par une lettre un