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ossible, d’une vérité dont nous ne sommes pas les
auteurs
, mais dont l’essence même implique notre effort pour la réaliser. Vér
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retourne aussitôt contre notre bonheur. Depuis l’
auteur
de l’Ecclésiaste jusqu’au romancier le plus moderne, la littérature u
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llemagne, à peu près, la terminologie propre à un
auteur
. d. « Dialectique des fins dernières », Hic et Nunc, Paris, n° 3-4,
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hellénisme style Empire — voilà peut-être le seul
auteur
qui situe le problème dans sa réalité. Lisons ses Réflexions sur le T
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la funeste doctrine de l’analogia entis empêche l’
auteur
de conclure dans le sens paulinien, et « naturalise » les réalités es
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part, nous ne pouvons nous empêcher, après tant d’
auteurs
religieux — qui ne sont pas tous américains — de nous représenter un
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e M. Monod, tantôt la science universelle du même
auteur
. Cette espèce de cacophonie, vous le savez, est assez habituelle dans
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: « Je retiens en tous cas votre définition de l’
auteur
du Problème du Bien ! “L’homme qui ne veut pas mourir”, c’est exactem
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ssent-ils Paul Claudel. Ce très grand poète est l’
auteur
des plus monumentales âneries qui aient jamais été proférées sur la r