1 1953, La Confédération helvétique. Note de l’auteur
1 Note de l’ auteur Ce petit ouvrage, écrit en mars 1949, fait partie d’une série d’étu
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
2 on est l’administration de la justice8. Un autre auteur , le juriste F. Fleiner, a démontré que la caractéristique de l’État p
3 n La Démocratie suisse, 1948, p. 135. Cf. du même auteur  : L’Autonomie communale et la reconstruction de l’Europe, trad. franç
3 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
4 oles. « Tout Suisse est pédagogue », répètent les auteurs suisses. Et cela s’explique aisément, sinon par une cause unique. Dan
4 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
5 éral, mais l’autonomie des cantons. Chez certains auteurs , comme Ramuz, il devient presque synonyme de séparatiste.) Alors que
6 points essentiels la pensée éthico-politique des auteurs protestants les plus influents du xixe et du xxe siècle, Alexandre
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
7 ’importance vitale de ce lien politique, tous les auteurs suisses sont d’accord. Citons-en trois : un homme d’État, un général,
8 in, il est un Suisse. Laissons ici la parole à un auteur français qui a su dire mieux que tout autre comment on voit, de son p
9 8. Nietzsche le cite comme un des trois ou quatre auteurs qui aient su écrire la langue allemande. 44. À vrai dire, l’allemand