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d’époques lointaines, très différents de ce que l’
auteur
lui-même imaginait. Il n’importe : sans eux, rien n’aurait été fait.
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l’Occident que dans le récit d’Avicenne, auquel l’
auteur
rattache d’ailleurs son conte, qui est une vision7. Tentons maintenan
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une liste des caractères symboliques que ces deux
auteurs
attribuent à l’Orient et à l’Occident. Ajoutons-y les qualificatifs q
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raît difficile de le mettre en doute10 : tous les
auteurs
qui traitent de mon sujet s’accordent au moins sur ce point, malgré l
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uelle école mystique de l’hindouisme appartient l’
auteur
de cette phrase : « Écarte les choses, ô Amant, ta voie est fuite » ?
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de néant s’en dégagent. La réaction de nos deux
auteurs
occidentaux n’est pas moins significative, pour notre objet présent,
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nement réalisé. 2. C’est l’attitude générale des
auteurs
modernes qui se réclament en Occident de la « pensée traditionnelle »
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it visionnaire, 2 vol., Téhéran, 1954, et du même
auteur
: Œuvres philosophiques et mystiques de Sohrawardi, tome I, Téhéran,
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éal innommé, sur les législateurs américains, les
auteurs
du Federalist, et peut-être parfois sur Rousseau31, sûrement sur Goet
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culte, — en plein époque de la psychanalyse ! Les
auteurs
qu’ils admirent le savent, et se gardent bien de toucher à l’idole, m
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a personne. Ce n’est pas un hasard, si le premier
auteur
d’une philosophie de l’Histoire — la Civitas Dei — fut aussi le premi
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’Histoire — la Civitas Dei — fut aussi le premier
auteur
d’une biographie de sa personne : les Confessions. Du mythe à l’hi
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ès lors à la Nature. Le Dieu du Bien ne peut être
auteur
du Mal. La Nature est donc l’œuvre d’un Autre. On a reconnu cette att
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a financé le « Progrès » — sans bénéfice pour ses
auteurs
— au détriment de ses ouvriers. C’est ainsi que les applications de l