1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 2 et celui d’Emmanuel Kant en 1795. Chacun de ces auteurs se réfère à l’un au moins des plans qui ont précédé le sien, mais com
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
2 erlöf, un Français et un Allemand lisant ces deux auteurs , y prendront à fort peu de choses près le même plaisir, parce qu’ils
3 s’agit d’inspirer à l’élève, c’est le respect des auteurs , et non des peuples. Un peuple n’écrit rien, ne produit pas de littér
4 ens moderne soit en partie le produit de certains auteurs et des propagandes qui s’en sont inspirées. De même, ce n’est pas le
5 facteurs de ressemblance ou de dissemblance entre auteurs , non moins importants que les langues utilisées, altérées ou rénovées
6 ues utilisées, altérées ou rénovées par ces mêmes auteurs . Quelles que soient les différences entre les romantiques allemands,
7 semblent davantage entre eux que chacun d’eux aux auteurs classiques ou aux auteurs surréalistes de sa propre langue. d) C’est
8 ux que chacun d’eux aux auteurs classiques ou aux auteurs surréalistes de sa propre langue. d) C’est dans l’usage le plus rigo
9 Unis18. Le diagnostic qu’elle porte, et que vingt auteurs confirment, pourrait être résumé de la sorte : on pousse le respect d
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
10 nterétatique), seul pris en considération par les auteurs classiques, n’était en réalité qu’un cas particulier d’une conception
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
11 l’État unitaire, voire, comme le disent plusieurs auteurs , de l’exploitation des régions par l’État central. On s’est intéressé
12 vers le centre stato-national, alors, ce que les auteurs anglais nomment si bien la dévolution du pouvoir des capitales aux ré
13 se d’abord à autre chose qu’à la France. 44. Les auteurs de tous nos manuels s’inspirent exclusivement de cette tradition unit
5 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
14 rnalistes que je cite — mais je vois bien que les auteurs de telles phrases n’ont rien compris, même au Marché commun. Car s’il