1 mme est donc à la fois libre et engagé, à la fois autonome et solidaire. Il vit dans la tension entre ces deux pôles : le partic

2 ien fonctionner, et ce qui doit rester pleinement autonome pour bien vivre. Deux cas extrêmes illustreront ce point : celui des

3 u sens classique ; mais il y a plus : aucun n’est autonome et ne pourra plus l’être tant que l’Europe entière ne le sera pas. Le

4 créatrice. Une jurisprudence fédérale des régions autonomes se constitue. Une politique fédérale de production et de distribution

5 peuvent se donner des structures et des pouvoirs autonomes , et elles peuvent aussi s’associer avec d’autres entités comparables

6 çaise, de confession catholique et historiquement autonome , mais rattaché à la masse protestante et alémanique du canton de Bern

7 bre de « cultures nationales » bien distinctes et autonomes dont l’ensemble constituerait la culture européenne est une pure et s

8 bre de « cultures nationales » bien distinctes et autonomes dont l’addition constituerait la culture européenne est une pure et s

9 omique ; ni de poursuivre une politique étrangère autonome . Que deviennent, dans ces conditions de fait, leur souveraineté et mê

10 ans le même sens final qui est celui d’une Europe autonome rendue forte par son union, de Gaulle lui-même. Les premières réalisa

11 créer dans votre nation une région plus ou moins autonome . L’effort général en vue de l’union et votre tentative régionaliste,

12 r, animer des régions et les doter d’institutions autonomes , ce sera la tâche au moins d’une génération, vingt à trente ans, en a

13 créer dans votre nation une région plus ou moins autonome . L’effort d’union et votre effort, qu’on soupçonnera de vouloir la di

14 s régions, et finalement les doter d’institutions autonomes , ce sera la tâche au moins d’une génération, vingt à trente ans, en a

15 plation, mais comme une existence incomparable et autonome à laquelle on voudrait participer : voilà la plus profonde tendresse.

16 naître. Les gens n’en veulent pas, de vos régions autonomes . Ils préfèrent mendier des subventions à Paris. Voyez les Bretons, qu

17 pe des États, mais une association de républiques autonomes , libres de leur gestion intérieure et responsables les unes des autre

18 unitaire par opposition aux libertés d’un Québec autonome . Or le fédéralisme, pour moi, est tout autre chose. Il consiste préci

19 italienne sur le règlement du statut des régions autonomes . Risque d’éclatement de la Belgique. En France, floraison de projets

20 s. Ces groupes devront être à leur tour à la fois autonomes et solidaires : pour eux aussi, l’un n’ira pas sans l’autre, bien mie