1 de Dieu doit ou peut être envisagé comme un monde autonome . Il doit être envisagé comme manquant de quelque chose. Or, ce « quel

2 bitude de les considérer comme autant de réalités autonomes , possédant leurs lois propres, échappant à notre domination et poursu

3 exercice. Il y a bien de la différence. Le savoir autonome , ou la puissance, font décorer celui qui les détient, mais l’exercice

4 rtant, par un artifice de l’angoisse, se proclame autonome , s’absolutise, et s’adore elle-même ? Les uns fuient en avant, et les

5 u christianisme, de l’Église. L’humanisme laïque, autonome , est simplement nié, comme une absurdité, une contradiction dans les

6 stianisé. Car cet homme est, lui aussi, à la fois autonome et en relation. Ainsi, le mot personne avec son sens nouveau, et la r

7 e se recompose sur la base de quelque 140 régions autonomes , dont il dresse la carte. Je vois des architectes comme Doxiadis, qui