1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 organisées en systèmes de tensions plus ou moins autonomes et plus ou moins équilibrés. L’unité de l’Europe comme culture est un
2 que l’esprit évangélique des premières paroisses autonomes et fédérées, où tout était mis en commun, prend corps dans les formes
3 taine de « cultures nationales » bien distinctes, autonomes et rivales. Cette conception n’est pas seulement responsable des guer
4 Notker et de Tuotilo, se constitue d’une manière autonome avec les troubadours du Languedoc, dès le xiie siècle, à Saint-Marti
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
5 italienne sur le règlement du statut des régions autonomes , avant les élections locales et régionales de juin 1970. Risque d’écl
6 s. Ces groupes devront être à leur tour à la fois autonomes et solidaires : pour eux aussi, l’un n’ira pas sans l’autre, bien mie
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
7 que les libertés personnelles et les communautés autonomes valent mieux que la puissance collective. L’Europe unie sera seule ca
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
8 animer des régions, puis les doter d’institutions autonomes , ce sera la tâche au moins d’une génération, en admettant que, de nos
9 re ». « Les gens n’en veulent pas, de vos régions autonomes . Ils préfèrent mendier des subventions à Paris. Voyez les Bretons, qu