1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
1 e dans les affaires — qui se donnent une espèce d’ autorité en ne parlant jamais que par allusions et mots couverts. Il intimide
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
2 ion de la civilisation moderne à l’égard de toute autorité divine qui est le trait dominant de notre époque » — pour reprendre l
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
3 , comment il l’aime, et quel est le secret de son autorité sur lui. L’état d’esprit de l’homme d’action s’accommode rarement d’u
4 irer les conclusions qu’impose cette œuvre avec l’ autorité d’une action, arrêtons-nous quelques instants devant la beauté singul
4 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
5 ec d’une œuvre. Il semblerait, dès lors, que leur autorité — sinon de droit, du moins de fait — dût s’exercer au bénéfice des au
5 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
6 squelles il éprouve amèrement la faiblesse de son autorité , c’est-à-dire la faiblesse de l’Allemagne sur le plan international.
6 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
7 tzschéenne, je trouve ceci : Nietzsche parle sans autorité . Il a tendance à confondre l’autorité et la violence. Mais ses violen
8 parle sans autorité. Il a tendance à confondre l’ autorité et la violence. Mais ses violences sont contradictoires : il attaque
9 éclarer ses valeurs », sans jamais renvoyer à une autorité centrale qui donnerait la synthèse de ces contradictions. La vie chré
10 la vie des chrétiens de son temps, il parle avec autorité , tandis que les critiques de Nietzsche feront toujours l’effet de cri
7 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
11 jour où il sera capable de répondre avec force et autorité aux questions politiques de notre temps. Qu’il le pressente, qu’il ai
12 s, des doctrines et des partis est un appel à une autorité nouvelle. Si les Églises n’y répondent pas, personne d’autre, je le c
13 ls réclamèrent à la fois le pouvoir temporel et l’ autorité spirituelle, et devinrent donc totalitaires. Dans les pays calviniste