1 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
1 s grands devant l’Europe, parce que nous serons l’ avenir de l’Europe. Si, pour faire face à la menace totalitaire, nous essayo
2 Et c’est l’affirmation tenace et convaincue de l’ avenir que nous incarnons aux yeux des peuples d’Occident. Notre seul espoir
2 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
3 Et c’est cela que nous avons à défendre : le seul avenir possible de l’Europe. Le seul lieu où cet avenir soit, d’ores et déjà
4 avenir possible de l’Europe. Le seul lieu où cet avenir soit, d’ores et déjà, un présent. Il ne s’agit pas de grands mots, de
5 son trésor, d’affirmer sa santé, et de sauver son avenir . Si nous trahissons cette mission, si nous n’en prenons pas conscienc
3 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
6 e rêve du retour aux origines, c’est le rêve d’un avenir éternel, d’une révélation inouïe. Il s’agit donc de l’attente d’une c
7 e l’État. Beaucoup de choses en dépendent, pour l’ avenir immédiat ! Et enfin, sur le plan politique, essayons de comprendre un
4 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
8 r. Je suis persuadé que sa formule est celle de l’ avenir de notre scène. r. « Le théâtre communautaire en Suisse », La Suiss
5 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
9 ser sur lui d’une manière insupportable le sombre avenir de son pays. « Dans mon désespoir, j’eus recours à l’Évangile qu’on t
6 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
10 est qu’aucune œuvre n’est plus concevable quand l’ avenir immédiat ne l’est plus. Toute création demande une vacance, un espace
11 is les plus élémentaires, exigent et supposent un avenir . Nous l’oublions souvent, dans notre vie individuelle. Les statistiqu
12 nséquences, la privation, d’ores et déjà, de tout avenir imaginable, — pour ceux qui la feront à coup sûr… La guerre qui vient
13 ns cesse et en tout lieu ! Si tout dépendait d’un avenir assez lointain et assez glorieux pour disqualifier nos soucis, tout s
7 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
14 omphons, elle nous donnera la force de préparer l’ avenir . Il est dur de reconnaître ces fautes, parce que nous en sommes les c
15 e on est rentier. Nous sommes neutres en vue de l’ avenir . C’est là notre mission spéciale, notre responsabilité devant l’Europ
16 mpathies et nos passions. Je ne sais pas ce que l’ avenir vaudra, mais je sais que s’il vaut quelque chose, ce sera grâce à l’a
8 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
17 aux révolutions actuelles que si elle croit à son avenir , à sa mission — qui seule la rend indispensable aux autres peuples de
18 nous aurons donné un exemple qui peut féconder l’ avenir  : exemple d’ordre humain librement édifié. Que les chefs d’entreprise
9 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
19 , un avertissement grave et clairvoyant quant à l’ avenir . Nous sommes donc particulièrement heureux d’en présenter à nos lecte
10 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
20 ns à défendre en défendant notre patrie : le seul avenir possible de l’Europe. Le seul lieu où cet avenir soit, d’ores et déjà
21 avenir possible de l’Europe. Le seul lieu où cet avenir soit, d’ores et déjà, un présent. Il ne s’agit pas de grands mots, de
22 son trésor, d’affirmer sa santé, et de sauver son avenir . Tel est le sens de notre indépendance, et telle est la mission spéci