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te de nos vies, bien plus : qui sont le gage d’un
avenir
meilleur ! » Ce langage seul peut nous sauver. Encore faut-il que nou
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e celles de leur vie culturelle, le passé comme l’
avenir
, la raison comme les rêves. Qu’est-ce qui les retient ? Une sorte de
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, incompréhensible aux masses, qui prépare pour l’
avenir
une sorte d’uniformité du cadre de la vie matérielle. Cela risque d’a
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vitalité humaine, de création, d’ouverture vers l’
avenir
, de liberté. Hier, j’ai reçu une lettre parlant des foyers où l’on di
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nts, lorsqu’il s’agit de porter un jugement sur l’
avenir
, comme dans le cas de l’union de l’Europe. Mais il y a plus. Il est p
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e, qui n’était pas seulement le statu quo, mais l’
avenir
commun de nos peuples. La « conférence asiatique » s’ouvre à Genève à
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d’une nouvelle communauté non de naissance mais d’
avenir
et de volonté. Toutefois, cette idéologie n’est pas le fait du peuple
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a cause paraît jugée. Qu’en est-il au regard de l’
avenir
? Le nationalisme apparaît en pleine contradiction avec l’évolution t
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pas craint de porter un jugement pessimiste sur l’
avenir
immédiat de la Suisse, sauvant ainsi chez nous le sens du pire, la co
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Francs, traverse notre histoire et pointe vers un
avenir
qui ne peut être distinct de celui d’une Europe soit fédérée par la l
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e. Tout nous rattache dans le passé, comme pour l’
avenir
, à des entités spirituelles, historiques et géographiques qui nous dé