1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
1 ues, et sa persistance nous invite à porter sur l’ avenir de l’Europe un jugement très pessimiste. Marquons ici une incidence q
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
2 eut, ni de passion inaccessible, ni de passé ni d’ avenir , ni de déchirements voluptueux. Il vit toujours dans l’immédiat, il n
3 de l’ordre dans sa vie et qu’il s’ouvre un nouvel avenir . L’économie de l’épargne, une fois de plus, s’oppose ici à celle du g
4 marier. Et si l’on veut tirer une traite sur son avenir , il est fort imprudent de suggérer d’avance qu’on se réserve le droit
5 toute la précarité ; soit qu’elle projette sur l’ avenir collectif une théorie ou des préceptes raisonnables, mais dont les ef
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
6 le mariage ne saurait honnêtement s’appliquer à l’ avenir d’un état où l’on se trouve aujourd’hui ; mais il peut et il doit imp
7 aujourd’hui ; mais il peut et il doit impliquer l’ avenir d’actes conscients que l’on assume : aimer, rester fidèle, éduquer se