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a beaucoup à nous apprendre, il a vécu toutes les
aventures
de notre temps, à Moscou, à Budapest, à Munich, à Madrid, à Stalingra
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as aussi, et peut-être surtout, un renouveau de l’
aventure
occidentale dans son avidité de tout « comprendre », tout explorer, t
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C, de 1953 à 1975. Voir aussi D. de Rougemont, L’
Aventure
occidentale de l’homme , Paris, 1957, et Les Chances de l’Europe , 1
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le. Je retracerai les étapes principales de cette
aventure
culturelle. Puis j’essaierai de comprendre les raisons — si on ose di
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lture, le sens grec de la mesure, mais aussi de l’
aventure
, le sens romain des institutions, mais aussi le prophétisme juif, ant
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rdi, un événement de l’âme actuellement vécu, une
aventure
que dès maintenant il vit par une suite d’illuminations qu’il décrit,
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non-lieu physique (ou-topos), mais lieu réel de l’
aventure
spirituelle, on ne peut le comparer dans la tradition occidentale, ch
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ous l’inanimé, contre la vie toujours mortelle. L’
aventure
technique relève de l’utopie dans toute la mesure où elle vise à l’él
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pendant tout le Moyen Âge : la mystique celte, l’
aventure
, le roman, toute la littérature, y compris l’opéra sont sortis de là,