1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
1 au pantalon trop court traverse sans assurance l’ avenue où cinglent violemment de belles autos. Un long bruit de ferraille su
2 ment après les blocs, s’étend la zone. Je longe l’ avenue bordée de marronniers qui la traverse. À droite et à gauche, des ruel
3 la nuit… Mais ce soir, sous les marronniers de l’ avenue , tout ce petit monde me paraît libre et presque heureux. Soir village