1
que, épuisé mais pacifié, il va quitter son corps
aveugle
pour d’autres formes d’existence que la Nature se voit pour ainsi dir
2
puis si longtemps. Masse de sourds, de muets et d’
aveugles
, mais pas si sourds qu’ils ne s’irritent de nos cris. Il est vrai que
3
t-on comment nous avons pu rester si parfaitement
aveugles
? Ou bien est-ce ma gêne qui est absurde ? Essayer de confronter la c
4
homme naturel, exemplaire animal transitoire et «
aveugle
», enveloppe obscurcissante d’une âme divine. Ainsi parlent tous les