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roideur avec laquelle nous la mènerons. Sourds et
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aux « charmes » du récit, essayons de résumer « objectivement » les f
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’était pas le dieu sans nom du philtre, une force
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ou le Néant, qui s’emparaient de leur secret vouloir, mais le Dieu qu
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e platonisme dégénéré, qui nous obsède, nous rend
aveugles
à la réalité de l’objet tel qu’il est dans sa vérité — ou bien nous l
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ottfried y voit le signe d’un destin, d’une force
aveugle
, étrangère aux personnes, d’une volonté de la Déesse Minne, revivisce
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ller ses disciples : « Sectateurs de l’ignorance,
aveugles
qui veulent juger des couleurs, oies essayant de rivaliser avec l’aig
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on mérite, que quand elle vient d’une inclination
aveugle
, et forcée par quelque ascendant de naissance à qui nous ne pouvons r
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ner l’a vu, l’égale au monde. « Mon regard ravi s’
aveugle
… Seul je suis — Moi le monde… » La passion veut que le moi devienne p
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emble bien avoir : celui de la recherche, presque
aveugle
encore, d’un nouvel équilibre du couple. Équilibre tendu entre les ex