1 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
1 ions repartir ce soir en train, mais en prenant l’ avion de Madrid, demain matin, nous gagnerons une vingtaine d’heures. Curie
2 est impossible : qu’il n’y a plus de place dans l’ avion , par exemple. En insistant, on en trouve toujours. Ils ont tout à per
2 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
3 et des buildings, se perd dans un dernier éclat d’ avion fuyant, et c’est la ville alors qui s’empare du ciel, s’en fait un dô
3 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
4 s cimes en silence, devient oiseau, devient petit avion luisant au cirque lumineux des collines et va creuser un sillon d’or
5 la guerre, j’espère m’acheter de nouveau un petit avion . Ce sera plus commode pour les week-ends, surtout que Madame Robert n
6 met en vente la « bicyclette du ciel », un petit avion de 1000 dollars. Déjà les banques de Buffalo ouvrent des guichets ext
4 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
7 n. 27 mars 1946 Entre les deux mondes. — L’ avion partira dans trois jours. Déjà, par l’imagination, j’habite l’Europe.
8 s d’une mer morte de glace. J’allais écrire : « L’ avion s’élance pour franchir l’Océan d’un seul bond. Nous volons à tire-d’a
9 , une fois installé dans le fauteuil profond de l’ avion , attendre que la boule au-dessous de nous ait tourné jusqu’au point d