1
ions repartir ce soir en train, mais en prenant l’
avion
de Madrid, demain matin, nous gagnerons une vingtaine d’heures. Curie
2
est impossible : qu’il n’y a plus de place dans l’
avion
, par exemple. En insistant, on en trouve toujours. Ils ont tout à per
3
et des buildings, se perd dans un dernier éclat d’
avion
fuyant, et c’est la ville alors qui s’empare du ciel, s’en fait un dô
4
s cimes en silence, devient oiseau, devient petit
avion
luisant au cirque lumineux des collines et va creuser un sillon d’or
5
la guerre, j’espère m’acheter de nouveau un petit
avion
. Ce sera plus commode pour les week-ends, surtout que Madame Robert n
6
met en vente la « bicyclette du ciel », un petit
avion
de 1000 dollars. Déjà les banques de Buffalo ouvrent des guichets ext
7
n. 27 mars 1946 Entre les deux mondes. — L’
avion
partira dans trois jours. Déjà, par l’imagination, j’habite l’Europe.
8
s d’une mer morte de glace. J’allais écrire : « L’
avion
s’élance pour franchir l’Océan d’un seul bond. Nous volons à tire-d’a
9
, une fois installé dans le fauteuil profond de l’
avion
, attendre que la boule au-dessous de nous ait tourné jusqu’au point d