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sportif. « On se fait son unité comme on peut »,
avoue-t
-il franchement. Il me semble bien paradoxal de vouloir unir dans une
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s, qu’on les appelle ou non idées générales, et j’
avoue
bien volontiers qu’il n’est pas une opinion sur le monde à laquelle j
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feintes que je progressais, jusqu’au jour où je m’
avouai
un trouble que je me refusai pourtant à nommer peur de rire. Cette am
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mation. Mais il y faut une doctrine, me dit-on. L’
avouerai
-je, quand je médite sur une doctrine possible, sur une systématisatio
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açon de parler. On dit que j’ai vécu d’illusions,
avouez
que les miennes étaient de meilleure qualité : car c’est une pauvre i