1 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
1 ne saurais qualifier que d’idéale ! Dois-je vous avouer que rien ne me préparait à l’espérer ? Vous êtes Vaudois, et pourtant
2 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
2 us compter que sur la force brutale pour se faire avouer comme « vérités » par leurs victimes. Elles agissent par coup de forc
3 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
3 Ce que Denis de Rougemont pas plus qu’Honegger n’ avouent , c’est la joie qu’ils ont eue à créer une œuvre saine et forte. C’est
4 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
4 a haine ? En Suisse, 2 mai 1939 Combien oseraient avouer que cette menace leur rend enfin le goût de vivre ? Privilégiés qui n
5 êmes, dans notre inconscient collectif. Je puis l’ avouer parce que je suis un écrivain. Il est admis que ces gens-là ont le dr
6 là-dessus un livre vrai, un livre où tout serait avoué , horreur et charme, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie
5 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
7 is passés8. Ce délai nous permet de comprendre, d’ avouer nos fautes et celles de notre monde, de dire la vérité que les peuple
8 ’illusion ; un peuple neutre, en avouant le réel. Avouer ses fautes est une libération dont l’homme sort toujours retrempé. Av
9 e libération dont l’homme sort toujours retrempé. Avouer les fautes de ceux qu’on aime et dont on attend la victoire comme la
10 et que nous aimons les fautifs. Il est dur de les avouer , parce que les fautes contraires des autres, en face, nous paraissent