1 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
1 entrer plus avant dans l’esprit des nations, et j’ avoue que je me suis trouvé parmi ces propagandistes […]. Je pense qu’entre
2 1979, Articles divers (1978-1981). Considérations sur une charte culturelle européenne : mémorandum (17 décembre 1979)
2 rties qui composent l’Ancien Monde ; mais il faut avouer que dans sa petitesse, elle est la plus grande en qualité. » En 1816
3 1979, Articles divers (1978-1981). Formule d’une Europe parallèle ou rêverie d’un fédéraliste libertaire (1979)
3 s États-nations seuls. Mais ils devraient alors s’ avouer franchement totalitaires, comme aucun, jusqu’ici, ne l’a osé à l’Oues
4 1980, Articles divers (1978-1981). La maîtrise sociale des besoins (avril-juin 1980)
4 t électrique » destiné à créer le besoin quitte à avouer par son PDG lui-même (voir l’interview de M. Boiteux dans Le Monde du
5 1980, Articles divers (1978-1981). Énergie solaire et autonomie (1980)
5 s en deux classes et ceux qui ne le font pas. » J’ avoue que j’appartiens à la première de ces classes. Je pense que les homme
6 1981, Articles divers (1978-1981). La Suisse face au danger de guerre : « Je suis un pessimiste actif » (4 mars 1981)
6 trôler, limiter, je dirais presque apprivoiser. J’ avoue avoir moi-même hésité à un moment donné, me disant : après tout, la b
7 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre-décembre 1981)
7 ma dernière remarque — ces remarques dont je dois avouer qu’elles ne sont guère qu’introductives à des débats futurs, débats q
8 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre 1981)
8 ersibles, qui pourraient en être le prix. Il faut avouer que cela ne se comprend que trop, si l’on pense aux démentis en rafal
9 ma dernière remarque — ces remarques dont je dois avouer qu’elles ne sont guère qu’introductives à des débats futurs et qui se
9 1981, Articles divers (1978-1981). Quelques maximes de prospective (1981)
10 s, qui ne sont pas toujours ceux que nous pouvons avouer , mais ceux qui s’annoncent dans nos rêves et que déclarent nos choix