1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
1 mposée dans la solitude : tant qu’on ne s’est pas avoué devant les autres, on peut toujours s’estimer singulier, c’est-à-dire
2 à la masse. Et ce n’est pas encore franchement s’ avouer que de se comparer aux seuls humains que le métier ou notre rang soci
2 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
3 geur en la personne de M. François Porché. Mais j’ avoue que cet article de Parisien est moins heureux que celui de la Romoran
4 ue M. Porché tient la pauvreté pour sacrée. Là, j’ avoue que je ne puis le suivre. Ce serait donner dans les pires utopies. Et
3 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
5 s hommes le ressentent, presque aucun n’oserait l’ avouer . On croit que la poésie n’existe qu’héroïque ou sentimentale, et l’on