1 oisson soluble cette « vieillerie poétique » qui, avoue Rimbaud, entre encore pour une grande part dans l’« alchimie du verbe

2 nt et combinent toutes ces opinions ; et ceux qui avouent n’en point avoir, sincérité trop rare… Presque toutes les réponses, c

3 o a dompté Pégase et caracole dans les étoiles. J’ avoue que l’univers intérieur où il lui arrive de graviter me trouble mieux

4 nt d’y percevoir comme un appel du Dieu perdu. Il avoue enfin la cause secrète des inquiétudes modernes : la perte d’une foi.

5 leur chant. Utopie ! Oui, si notre civilisation s’ avoue trop fatiguée pour créer avec ses moyens matériels formidables des en

6 ntre eux dans leur isolement, inexplicable et mal avoué . L’on songe à une fatalité intérieure qui les ferait se meurtrir l’un

7 t la grandeur et la misère de l’époque — et qu’il avoue préférer à une certitude trop vite atteinte, où sa jeunesse ne verrai

8 pieds et poings liés à l’obsession qu’il voulait avouer pour s’en délivrer peut-être. Cette sincérité ne serait-elle à son to

9 ction, s’il ne peut encore s’en tirer, du moins l’ avoue-t -il avec une franchise qui la rend sympathique. Et puis, tout de même,

10 ’échecs simultanément, et c’est naturel : je m’en avoue plus éloigné et m’en sais plus dépourvu si possible. Je ne demande au

11 re d’un air connaisseur que c’est bien composé. J’ avoue prendre cette autobiographie tellement au sérieux que j’ai été bien é

12 ’s tickets remplacent l’exigence intérieure. On n’ avoue que des désirs archéologiques, d’ailleurs mensongers. Alors que dans