1 ier de l’ouvrier, il supprime la principale cause avouée de la lutte des classes. Il se dégage de la lecture de Ma vie et mon

2 r qu’une réponse valable pût être esquissée. Car, avouons -le, du fait même de la nouveauté que représentait une telle expositio

3 voir exactement quelle foi on a. » Plus tard elle avoue franchement : « … dans nos églises j’éprouve un sentiment de détresse

4 res, est en somme un plaidoyer pour André Gide. J’ avoue qu’il sait dans un grand nombre de cas me convaincre ; et que, dans l

5 paraît essentiel à toute existence ontologique. J’ avoue la plus vive méfiance à l’égard de ce terme qui me paraît dangereusem

6 sauvagerie ou sa bonté fondamentale. L’homme ne s’ avouera-t -il jamais lui-même que dans les tortures ? u. « Destin allemand », F

7 plus loin que le terme de mes actions, — ce qui, avouons -le, les ridiculise complètement et les rend vaines en fin de compte :