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le ton mesuré qu’il s’impose d’ordinaire. Mais j’
avoue
que m’a parfois un peu gêné cette présence de la mort qu’il fait sent
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iste de son sort terrestre, et le sobre courage d’
avouer
sa dégradation. Un vrai roman chrétien est d’abord réaliste. Car il f
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ne veut bien le dire, ou qu’on ne veut bien se l’
avouer
ici dans le choix qu’est en train de faire le corps électoral américa
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n. Laissez la place à ceux qui ont décidé d’agir.
Avouez
que rien ne vous paraît possible, on comprendra que vous n’êtes plus
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édant à celui des paysans, l’incompétence brutale
avouée
périodiquement, la trahison des chefs dont pas un seul n’est mort sou
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ctuelle est plus sérieuse que mon petit pamphlet,
avouons
-le, car c’est l’école qui a fabriqué nos nationalismes. C’est un écri