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sérieux l’actualité de ce que j’écrivais. Il faut
avouer
qu’il s’agissait, dans ces articles, de ce que les gens croient être
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de petits faits vrais. Elle tend aussi, il faut l’
avouer
, à ne tenir pour vrai que ce qui est petit. Laissons donc de côté ce
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uasion que tout est bien, si profonde que je me l’
avoue
pour la première fois aujourd’hui, et que je n’arrive à la préciser q
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al, on attaque la pensée en général. Plutôt que d’
avouer
que trop d’idées sont sans substance, sans pesée, sans danger, par su
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n’osent pas dire, ils n’ont pas de formules pour
avouer
leur peine, pour demander les « remèdes » qu’il faudrait. On ne le le
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ions dans son roman. Et de les voir aussi crûment
avouées
, m’oblige enfin à les considérer sans faux-fuyants sentimentaux. Là-
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e signe d’une accession à la condition générale !
Avouer
ses superstitions, ce serait avouer ce qu’on a de plus individuel, de
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on générale ! Avouer ses superstitions, ce serait
avouer
ce qu’on a de plus individuel, de plus irréductible au général. Mais
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1er mars 1935 Si l’on craint d’ordinaire d’
avouer
sa réalité individuelle et ses superstitions, c’est sans doute en ver
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le fondement même de toute « politique ». Et si j’
avoue
et légitime la réalité de mes superstitions, il faut tout de suite qu
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i pourrait nous en guérir ? — Commençons par nous
avouer
. Passons outre à nos vieilles pudeurs : c’est le début de la cure. En
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moquer cruellement des créatures, ou plutôt c’est
avouer
qu’on n’a pas su les voir. Aller demander à la Nature la révélation d
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naler. Sinon peut-être les maisons vides. Il faut
avouer
qu’on en trouve d’assez belles. Au fond d’un val qui paraît sans issu