1 oins trompeur qu’une apparence concertée ; rien n’ avoue mieux l’homme authentique, c’est-à-dire la combinaison de ce qu’il es

2 n.4 C’est tout le drame secret de l’œuvre qui s’ avoue dans ce cri : chaque fois que Goethe invoque la catégorie pour lui sa

3 chrétien… » Kierkegaard ajoute aussitôt : « … et avouons -le, sa rareté probable. » Car tout cela va au martyre. Les églises le

4 que le doute est révolte, et qu’il faut pour se l’ avouer la joie qui naît de l’acte de la foi. Lorsque Kierkegaard écrivit son

5 « appelle », nous adresse une vocation…) Or, pour avouer le sérieux dernier, le tragique absolu de notre condition, pour avoue

6 nier, le tragique absolu de notre condition, pour avouer qu’on ne peut pas se réveiller de ce cauchemar universel, il faut avo

7 que nous mesurons le réel, et que nous pouvons l’ avouer . Or voici la difficulté : je vois bien dans le Procès l’aveu voilé de

8 De fait, on ne voit guère que les chrétiens pour avouer le péché du monde, car c’est leur foi qui le révèle dans l’instant mê

9 plus loin que le terme de mes actions, — ce qui, avouons -le, les ridiculise complètement et les rend vaines en fin de compte :

10 guère honnête, et moins encore adroit de ne point avouer l’incertitude où pareil livre entraîne le jugement. Gide a tant répét

11 agmentaires, une vérité que les œuvres concertées avouaient peut-être beaucoup mieux. Il est probable aussi que le journal est un

12 r implicites. Sous le couvert desquels pourront s’ avouer des régions nouvelles de l’humain… À cette sincérité qui entend décri

13 lutôt l’élan même qu’elle a brisé, mais sans se l’ avouer et sans pouvoir la reconnaître ou l’exprimer… C’est le mouvement fond

14 essée. Au contraire, s’exprimer, c’est toujours s’ avouer , c’est se donner pour responsable de sa pensée et de ses actes. Mais

15 le une telle vocation peut donner le courage de s’ avouer en toute lucidité, de s’exprimer sans réticences, et d’assumer son mo