1 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
1 rivole, je le crains. Mais l’événement, il faut l’ avouer , dépasse les limites de la décence. Il nous laisse comme privés de ré
2 1946, Lettres sur la bombe atomique. Un salon atomique
2 nd sur moi dès que je suis à Washington ? Je vous avouerai que je m’y réfugie dans les salons. L’Europe avait des salons littéra
3 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tous démocrates
3 t éclater de rire.) Moi. — Quel beau programme ! Avouez que nous sortons enfin des petitesses de l’ère bourgeoise, succédant
4 tre que la guerre pouvait permettre… Lui. — Mais avouez qu’aussi longtemps que vos hommes d’État démocratiques n’auront pas a
5 res et parfois les plus tyranniques. Moi. — Je l’ avoue . Je suis sorti de là pour vous écrire. La prochaine fois, j’aurai san
4 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le goût de la guerre
6 de, pour le grand soulagement des stratèges. Et j’ avoue qu’à chaque fois les pacifistes ont fait les mêmes déclarations inopp
7 ion pure et simple, qu’ils n’oseraient pas même s’ avouer . J’insiste sur ces derniers mots. Notre goût de la guerre est si bien
5 1946, Lettres sur la bombe atomique. Les cochons en uniforme ou. Le nouveau déluge
8 ans exception par l’usage de la Bombe atomique… J’ avoue que je n’avais pas pensé à l’uniforme et au respect que nous lui devi
6 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre des gaz n’a pas eu lieu
9 re près d’un an après le lancement de la Bombe. J’ avoue les avoir publiées sans discrétion dans les pays les plus divers, de