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rivole, je le crains. Mais l’événement, il faut l’
avouer
, dépasse les limites de la décence. Il nous laisse comme privés de ré
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nd sur moi dès que je suis à Washington ? Je vous
avouerai
que je m’y réfugie dans les salons. L’Europe avait des salons littéra
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t éclater de rire.) Moi. — Quel beau programme !
Avouez
que nous sortons enfin des petitesses de l’ère bourgeoise, succédant
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tre que la guerre pouvait permettre… Lui. — Mais
avouez
qu’aussi longtemps que vos hommes d’État démocratiques n’auront pas a
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res et parfois les plus tyranniques. Moi. — Je l’
avoue
. Je suis sorti de là pour vous écrire. La prochaine fois, j’aurai san
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de, pour le grand soulagement des stratèges. Et j’
avoue
qu’à chaque fois les pacifistes ont fait les mêmes déclarations inopp
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ion pure et simple, qu’ils n’oseraient pas même s’
avouer
. J’insiste sur ces derniers mots. Notre goût de la guerre est si bien
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ans exception par l’usage de la Bombe atomique… J’
avoue
que je n’avais pas pensé à l’uniforme et au respect que nous lui devi
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re près d’un an après le lancement de la Bombe. J’
avoue
les avoir publiées sans discrétion dans les pays les plus divers, de